注册新用户

已有账号?

忘记了账号密码?

登录你的账户

还没有账号? 注册新用户

忘记了账号密码?

把你的用户名发送到邮箱

yli204960@gmail.com

站长核实后会重置新密码并回复给你

主演:
丹泽尔·华盛顿,瑞安·雷诺兹,维拉·法米加,布莱丹·格里森,山姆·夏普德,卢宾·布雷兹,诺拉·阿娜泽德尔,罗伯特·帕特里克,利亚姆·坎宁安,乔尔·金纳曼,法瑞斯·法瑞斯,斯蒂芬·里德尔,丹尼尔·福克斯,翠茜·索姆斯,莎拉·阿林顿,肯尼思·霍,杰克·麦克劳克林,史蒂芬·毕肖普,法纳·莫科纳,塔尼特·菲尼克斯,纳別卡恩特普沃特,罗伯特·霍布斯,约翰·金,艾丹·怀托克,肖恩·卡梅伦·迈克尔,塞巴斯蒂安·罗奇,斯特里奥·萨万特,SherryStone
上映:
2012
备注
HD
类型:
电影
剧情:
  传奇间谍托宾·福斯特(泽尔·华盛顿 Denzel Washington 饰)曾经是CIA训练出的最顶尖的谍报工作者,也是CIA历史上最大的叛徒。因为他把很多秘密情报卖给了外国的谍报结构,给美国造成的损失难以估计。而CIA也派出了大量的人力和物力来追踪他,只是一无所获。在隐匿了十几年之后,福斯特因为被追杀,不得已进入大使馆,从而浮出水面,回到了众人的视线里。  马特·威斯顿(瑞恩·雷诺兹 Ryan Reynolds 饰)作为开普敦“安全屋负责人”的一名新人感到百无聊赖。福斯特正在被CIA送到自己的安全屋中,威斯顿已经做好全然的准备来迎接这个“贵客”。但是刚刚到达这个安全屋,一群雇佣兵就从天而降,他们是来追杀福斯特的。在护卫人员全部被杀之后,威斯顿不得不带着福斯特逃走。在东躲西藏的过程中,两人化敌为友,最后威斯顿可以证明自己的实力吗?福斯特又会面对怎样的命运?…

播放列表

猜你喜欢

1969 欧美
笔记·日志·素描
蒂莫西·利瑞艾德·艾姆许维勒FranzFuenstler
  Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969  Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.  « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »  Jonas Mekas  « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »  Jonas Mekas, 1972  « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »  P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997  « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »  Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000…
HD

该资源权限:vip用户

当前vip价格:¥75